Lorsqu’on est dimanche et qu’internet tombe en panne alors que l’on glande innocemment sur Facebook ou YouTube, c’est déjà pénible. Mais lorsque l’on est freelance à domicile et que le web lâche un lundi, la situation tourne carrément à l’hostile.
Bonjour M. Smith, vous nous avez appelés ce matin car vous avez une panne d’internet ?
Souris, clavier, clé achetée en grande surface ou volée à un ami, disque dur professionnel ou surface de stockage photos : les ports USB de nos ordinateurs souffrent, au quotidien, d’une sollicitation des plus extrêmes. Voilà une belle illustration de ce problème très 3ème millénaire.
Dans sa vision décalée (ou très terre-à-terre, tout dépend du point de vue) du web, John Atkinson nous régale cette semaine d’une analogie salon/arborescence des plus plaisantes.
Le stalking (de l’anglais to stalk, pour traquer), vous connaissez ? C’est cette fâcheuse et fort répandue habitude d’épier secrètement photos, commentaires et publications diverses de son prochain sur internet.
Exemple : « – Tu sais ce qu’est devenue Marjorie depuis le collège ? – Bah oui, je passe mes nuits à la stalker sur Facebook. » Oui, le stalking a rendu le voyeurisme acceptable, voire très tendance. (suite…)
Cette semaine, la parole est à la sagesse ; où quand la perception de l’individu change fondamentalement selon Facebook ou Google…
Le vrai succès se manifeste lorsque les gens arrêtent de vous chercher sur Facebook
Et commencent à vous chercher sur Google
