Les community managers les plus consciencieux et une poignée d’internautes téméraires continuent à s’y attacher ; pourtant, les médias ont questionné cette semaine l’avenir trouble de Google+.
La raison ? Le départ de Vic Gundotra du réseau social, l’homme qui avait supervisé la construction du site qui, depuis, n’a toujours pas percé autant que Twitter et Facebook…
Un réseau désert que les community managers affectionnent
Les derniers chiffres – communiqués par Google+ itself – faisaient état de quelques 300 millions d’usagers actifs mensuels sur le réseau. C’est pas mal ; suffisamment pour que les community managers s’y intéressent et aient les yeux qui brillent en terme de « visibilité », « référencement » et consorts.
Des employés réaffectés ?
Mais voilà : à côté du milliard d’utilisateurs couvé par Mark Zuckerberg, Google+ fait bien pâle figure. Tant et si bien que le site spécialisé TechCrunch relaie déjà de surprenantes rumeurs : les 1 000 à 1 200 employés œuvrant pour Google+ seraient peu à peu réaffectés vers d’autres services de la multinationale !
Le choix auquel les community managers devront s’adapter
Google ferait donc face à trois options :
- maintenir le site en l’état et tenter de garder ses « quelques » fidèles
- prendre le pari de le faire évoluer
- l’euthanasier, purement et simplement, et se focaliser sur sa multitude de projets/ses valeurs sûres
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