« Gif » élu mot de l’année : les internautes à l’honneur

Ce ne sera pas la première fois que l’on constatera l’incursion du numérique dans nos langues officielles. En effet, Le Petit Robert a d’ores-et-déjà intégré à son édition de 2013 des expressions ayant trait au web : du technique (« mémoire flash« ) au mot-valise (« permalien« ), en se permettant même une brève incursion du côté du rire (avec le désormais incontournable « lol« ).

Et c’est bien du côté de l’humour que les intellectuels britanniques se sont tournés – pouvait-il en être autrement de la part de nos amis d’outre-Manche ? Les lexicographes de la prestigieuse Université d’Oxford ont tout récemment voté pour le mot de l’année et le gagnant du suffrage fait trois lettres : « gif« . (suite…)

Par Camille, il y a

Google, ce petit coquin de cachotier

Les développeurs ont beaucoup d’humour. Et ceux de Google, tout particulièrement. En effet, ceux-là prennent le plus grand des plaisirs à dissimuler les fonctionnalités les plus singulières dans le leader des moteurs de recherche sur Internet. Et certaines d’entre elles valent particulièrement le détour. Leur nom ? Les Easter Eggs (traduisez par « Œuf de Pâques », bien qu’on utilise quasiment exclusivement l’appellation anglaise pour faire référence à ces plaisanteries informaticiennes).

 

Un Easter Egg Google, qu’est-ce que c’est au juste ?

Cela fait longtemps que le sobriquet « Easter Egg » est appliqué aux fonctionnalités cachées par un développeur dans un logiciel ou un programme ; Google n’a donc rien inventé en la manière. Généralement, ces Easter Eggs sont des animations, des petits jeux, des applications loufoques, des images inhabituelles ou même – ça arrive – des fonctionnalités très sophistiquées, dissimulés au sein même du programme concerné. Son but, somme toute similaire à celui visé par les journaux d’information qui diffusent de fausses actualités le 1er avril venu : faire marrer, et créer le buzz. (suite…)

Par Camille, il y a

If I Die First : partagez vos dernières paroles justes avant de mourir

Fraichement lancée sur l’Espace Applications de Facebook, la campagne If I Die First offre à ses utilisateurs une chance de jouir d’une renommée mondiale, mais post mortem. Pour marquer l’Histoire d’une trace a priori indélébile, une seule condition : être le premier inscrit à… à mourir.

En effet, le premier participant à passer l’arme à gauche verra ses dernières pensées publiées pour la communauté de l’application If I Die (tout court). If I Die, nouvelle fonctionnalité, offre le contraire d’If I Die First : envoyer à vos amis Facebook des messages privés les heures suivants votre décès. (suite…)

Par Camille, il y a

Des réseaux sociaux plus excitants que le sexe

D’après une étude américaine fraichement publiée, il semblerait que fumer une cigarette ou faire l’amour soit bien moins stimulant que surfer sur Twitter et Facebook. La recherche, menée sur sept jours outre-Rhin par l’Université de Chicago, conclue que tout ce qui touche de près ou de loin à nos habitudes concernant ces réseaux (poster un commentaire, une photographie, vérifier le quotidien d’untel ou d’unetelle, etc.) relève d’une tentation plus soulignée que l’amour charnel.

Le directeur de l’étude, Wilhem Hofman, confie au Los Angeles Times quelques motifs d’irrésistibilité pour les sites de réseautage social et de micro-blogging : large accessibilité, gratuité et aucune obligation d’engagement en font les nouveaux partenaires idéaux. (suite…)

Par Camille, il y a

Les réseaux sociaux : fidèles (et nouveaux) alliés des marques de luxe

Fashion week toute récente oblige, ce sont des marques de luxe dont nous allons traiter aujourd’hui, et du rapprochement opéré par le secteur du haut de gamme vers les réseaux sociaux. Considérés à leurs débuts comme des parias, ces derniers sont à présent utilisés pour permettre aux grandes marques de toucher directement le consommateur.

Les défilés de mode diffusés par YouTube, Facebook et consorts, ce n’était qu’un début. Maintenant, les marques de luxe brassent plus large. Distribuées par des tiers tels que des grands magasins, elles trouvent en la presse féminine l’un des piliers de leur communication. Les réseaux sociaux en constituent un second, avec pour but de s’adresser directement à la consommatrice. (suite…)

Par Camille, il y a