Vous ne vous souvenez pas de ce à quoi ressemblait Facebook quand le géant mondial du réseautage social n’en était qu’à ses balbutiements ? Vous avez oublié les « My Profile« , « My Friends« , « My Photos » en haut à gauche de l’écran et leur typographie bleu ciel ? Pire : votre cerveau a complètement éludé la version pré-timeline de votre mur ? Pour les étourdis, les retardataires et pour ceux et celles qui n’étaient tout simplement pas né(e)s, petit rappel des faits en images, à commencer par 2004, l’année où Facebook n’était encore que « The Facebook » et n’était ouvert qu’à quelques facultés américaines.
Dès 2005, l’invention de Mark Zuckerberg s’exporte excellemment bien, comme un témoigne cette liste d’universités ayant succombé à l’appel du jeune site. A l’époque, l’icône visible sur le bandeau n’est autre qu’Al Pacino – symbole de réussite hautement scarfécien, où il aura fallu jouer des coudes pour s’imposer.
La même année, « The Facebook » se débarrasse de son « The » et le design prend un petit coup de jeune.
L’année suivante, révolution majeure : Facebook ne se cantonne plus aux universités américaines et s’ouvre au monde.
A partir de 2007, les usagers ont le droit à des applications tierces et les messages peuvent dorénavant jouir d’un contenu autre que du simple texte.
En 2009, Facebook est déjà bien au-delà de MySpace, réseau social pour has-been.
En 2010 déjà, le jeune créateur de Facebook admet l’existence d’ »erreurs » liées aux paramètres de confidentialité du site. Accusation principale : celle de communiquer des informations privées des usagers à d’autres entreprises.
Mais Mark Zuckerberg est plus fort que la polémique : la même année, il est élu homme de l’année par Time Magazine et crée ce qui deviendra l’un des piliers de son site : le bouton « Like« .
2012 est une autre année cruciale pour le géant du réseautage social : après la création de la timeline et une entrée en Bourse, le site initialement réservé à Harvard compte aujourd’hui plus de 950 millions d’usagers.
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